De l’homme pervers au père mort

Dialogue, 214(4), 2016, p. 141-144.

A l’occasion des Césars 2016 où il est cruellement absent, je remets mon trophée personnel à « L’étudiante et Monsieur Henri ».

Ce « magnifique » film d’Ivan Calbérac, servi admirablement par de remarquables acteurs dont Frédérique Bel, Claude Brasseur, Noémie Schmidt, Guillaume de Tonquédec, est une comédie légère, c’est-à-dire qui a la décence de traiter de choses insoutenables sans s’y appesantir, ni lourdeur. En voici un point de vue qui jette un coup d’œil par trop fugace à cerner la brillance de l’objet et bien insuffisant à saisir la subtilité du propos… (à suivre)

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